1er Chapitre - What's going on ?

« Où est-ce que je suis ? »


Je me redressais brusquement, affolé. Ce qui étais visiblement une mauvaise idée. Étant donné que j'avais une de ces migraines monstres, qui vous cloîtres au lit, tandis que l'obscurité devient votre seule compagne. Et pour ne rien arranger, la lumière artificielle des néons venaient agresser mes pauvres pupilles, meurtris par l’inconscient. Qui ne réclamait rien d'autre que la compagnie de l'obscurité. Rien de plus, rien de moins.

« Qu'est-ce-que.. ? »

Du blanc. Du blanc tamisait chaque coins et recoins de la pièce. Un lit, une table de chevet, une armoire et un tapis. Voici les seuls meubles qui occupaient, ce qui pouvait s'assimiler à une chambre. Et ils étaient inévitablement blanc. J'avais l'impression d'être une de ces enfants bulles, confiné dans une de ces chambres stériles, que j'aurais souhaité ne jamais connaître. Le plus angoissant dans tout ça, c'est que rien ne me semblait familier, et il ne me semblait pourtant pas qu’Alzheimer m’ait été diagnostiqué.

Mes yeux s'affolèrent, à la recherche d'une issu quelconque. Quand soudainement, une porte qui me semblait sortir du néant, ce présenta face à moi, tel le Graal tant recherché. Mes mains appuyèrent sur la poignée, une fois, deux fois. Rien. La porte était verrouiller, comme j'aurais du m'y attendre. Je me sentais piégé. A croire que je me trouvais dans une de ces caméras caché, complémentent douteuse. Où seul ma crise de panique était attendu.

« Bon... Je suis enfermé dans une de ces chambres blanche, complètement stérile... Qu'est-ce-qui pourrait m'arriver de pire ? »

Si j'avais été dans un de ces mauvais films hollywoodien, très certainement qu'un truc complètement improbable me serait arrivée. Et c'était très certainement, ce que je devais espérer au fond de moi. Qu'un truc complètement barge ce passe, et me permettent de sortir de cette bulle. Eh pourtant, rien. Strictement rien. Le néant absolu. Aucun meuble n'avait bouger, aucune issue secret n'était apparut, et aucune porte ne c'était ouverte. Génial... Visiblement, j'allais être bloqué ici pour un bon bout de temps.

Pourquoi ? Qu'est-ce-que j'avais bien put trafiquer pour me retrouver dans une telle situation ? Je n'en avais pas la moindre idée ! Là était tout le problème. Je n'avais jamais été une gosse à problème.. Du haut de les 26 ans, ma vie était parfaitement réglé. J'avais toujours été scolarisé à domicile, le social, ça ne m'avait jamais vraiment intéresser. Et je n'avais jamais manquer de rien. Argent, vêtement, objets futiles en tout genre... Rien. Les amis, je n'en avais pas. Cela m'évitait tout un tas de problème futile, et cela ne m'avait jamais réellement intrigué. Seule. J'étais parfaitement bien seule.

Je me levais, et commençais déjà à tourné en rond. Cela devait faire quoi.... 30 minutes, à tout casser, que j'étais ici ? Eh bien sûr, personne n'avait pris la peine d'installer une horloge ! Perdu. J'étais complètement perdu ! Je n'avais pas l'heure, pas de repère. Je ne connaissais rien à cette endroit, qui m'angoissait, bien plus qu'il ne me réconfortait. Allais-je rester enfermé ici jusqu'à ce que mort s'en suive ? Ou bien étais-ce un simple kidnapping, et il comptait demander une rançon quelconque à mes parents ? Je le saurais en temps voulu... Temps qui allait sûrement me paraître bien long.

« Avry Fiisher est attendu dans la salle principal.»

Attendez... Comment cette machine connaît mon prénom, et mon nom ?! Cette question me quitte aussi tôt, que le bruit d'un verrou ce disloquant ce fait entendre. La porte ! La porte c'est ouverte. Ni une, ni deux, je me trouvais déjà dehors. Partant à la découverte de ce bâtiment, qui semblait visiblement être aussi blanc que la pièce où je me trouvais encore, quelques secondes plutôt.

« Eh toi ! Arrête toi, tout de suite ! » Qu'une voix inconnue m'ordonne.

Mes muscles ce tétanisent, et instinctivement, je stoppe le moindre mouvement que j'aurais put entreprendre. Si il y avait une chose dont j'étais désormais certaine, c'est que je n'étais pas seule ici. Ami ou ennemi ? Qu'est-ce-que je raconte ? Je n'ai pas d'ami !